Une cave remplie de reflets, dont on n’allumait jamais le plafonnier. Et sans lumière, nul reflet. On s’habillait dans le noir. On rampait dans le noir. Et soudain la lumière venait et tout le monde, sur un malentendu vestimentaire, était habillé pareil. Alors on rigolait et on se moquait des autres. Ceux à rayures ou à pois. Qu’est-ce qu’on rigolait ! Ça s’appelait le nationalisme. Et puis il y avait Elvis. Beaucoup d’Elvis. Ce gars-là en était un. Enfin, je me souviens mal. Il fait si noir de nouveau. Si noir.